Hymnes nationaux

Hymne national de panama

Himno Istmeño (Hymne de l’isthme) est l’hymne national du Panama. Adopté en 1925, les paroles sont dues au Dr. Jeronimo de la Ossa (1847-1907) et la musique fut composée par Santos Jorge (1870-1941).

En temps normal, le refrain, les strophes I et II puis à nouveau le refrain sont chantés. L’intégralité de l’hymne n’est joué que lors de certains événements à caractère national.

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Paroles hymne national de  Panama

Nous obtenons enfin la victoire
Dans le champ heureux de l’union ;
Avec des flambeaux de gloire
La nouvelle nation est illuminée. (2 dernières lignes x2)

Atteignons enfin la victoire
Dans le champ bienheureux de l’union;
Que les feux ardents de la gloire
Illuminent la nation nouvelle.

Enfin nous avons atteint la victoire
Dans le champ joyeux de l’union ;
Avec des feux ardents de gloire
Une nouvelle nation est allumée.

Le Calvaire et la croix doivent être recouverts d’un voile Du passé ;
Et que le bleu de ton ciel orne
la splendide lumière de l’harmonie.

Il faut couvrir d’un voile
Les temps passés du Calvaire et de la croix ;
Que maintenant les cieux bleus soient ornés de
la splendide lumière de la concorde.

Le progrès caresse vos lares.
Au rythme d’une chanson sublime,
Tu vois les deux mers rugir à tes pieds
Qui mènent à ta noble mission.

Le progrès caresse votre chemin.
Au rythme d’une chanson sublime,
Tu vois tes deux mers rugir à tes pieds
Te donner un chemin vers ta noble mission.

(Refrain)

Sur ton sol couvert de fleurs
Aux baisers du chaud terral,
Guerriers fragores terminés;
Seul l’amour fraternel règne.

Dans ton sol couvert de fleurs
Aux baisers des chauds nuages ​​de poussière, Les
rugissements guerriers ont cessé ;
Seul l’amour fraternel règne.

En avant le brochet et la pelle,
Pour travailler sans plus attendre,
Et nous serons ainsi prez et gala
De ce monde fertile de Colomb.

Devant la pelle et la pioche,
Au travail sans plus de dilatation,
et nous serons ainsi au travail et au gala
de ce monde fécond de Colomb .

(Refrain)